Généralité - Royaume de Torii NATION FAMILIALE
Résumé : Le Royaume de Torii est la nation la plus étendue du continent et compte 5 cités. Leur culture se base sur la famille comme pilier principal. On y cultive le respect des anciens et on loue la sagesse de ses prédécesseurs. L'humilité est une qualité qui définit bien la mentalité de ce peuple qui a élu le combat en un véritable art. Malgré une approche officiellement accueillante et chaleureuse, l'échec est très mal supporté dans le Royaume; autant que la criminalité qui est fortement réprouvée.
	Système politique | Monarchie Constitutionnelle
	Dirigeant | Yobuu Kio et Gabriel Hansen
	Capitale | Esmelle
	Villes | Esmelle - Nuusset - Oglens - Nearon - Carliste
	Population | 250 000 habitants
	Gentilé | Toriien, Toriienne
	Religion Culte commun
	Langues Commun et Toriien
Spécialités Agriculture - Ébénisterie - Combat - Chasse - Pêche
Armement traditionnel : Guisarme, Mains nues, Couteau de lancer, Bâton, Saï, Daisho, Croissant de Lune

Les Toriiens, habitants du Royaume de Torii sont un peuple inspiré par le croisement des différents grands Empires Byzantin et Khmer et une partie du Népal.
Une grande partie de la présence d’esprit, la culture familiale et ordonnée en clan ainsi que le style vestimentaire et les traditions sont issues de la société féodale japonaise.

Les noms des personnages issus de Torii sont à consonance :
- Japon féodal et empire khmer pour les conservateurs
- Français, vieux français et renaissance pour les progressistes

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Ils sont un peuple unis par sa Monarchie et le respect de l’héritage de ses anciens. Chaque pas foulé par un Toriien l’est dans l’objectif de rendre fier sa famille et son clan dans l’objectif de retourner de manière positive le temps pris pour leurs éducations et remercier l’héritage offert.
Très droit dans leurs comportements, les écarts sont sévèrement punis par un système intransigeant. L’échec est un déshonneur qui porte atteinte non pas qu’au fautif mais à toute sa famille.
La plupart des Toriiens sont conservateurs bien que des progressistes se détachent de ses anciennes valeurs pour s’inspirer de celles de Pont-Bleu, du Triumvirat et de l’Empereur.

Le Royaume de Torii

Famille - Respect - Humilité

Emblème

Couleurs : rouge, blanc et noir

L'emblème de Torii représente la dualité qui anime le royaume depuis sa fondation : Il possède deux rangées de fleurs, l’une au centre plus stylisé, et la seconde plus large, ouverte sur l’extérieur est plus lisse et moins sophistiquée. Le rouge et le noir exprime les changements cycliques qui surviennent lors des saisons; de la passion et la force que la nature utilise pour croitre avant de se flétrir, et recommencer a nouveau le cycle suivant, la terre enrichie de la floraison précédente. La mentalité des Toriien est omniprésente dans cet emblème, simpliste d’un premier abord et pourtant porteur d’un sens profond.

Territoire

Région :

Le Royaume de Torii est la nation la plus grande du continent, qui compte cinq cités

Torii compte cinq villes : Esmelle (capitale), Nuusset, Oglens, Nearon, Carliste

Villes :

- Esmelle : 

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- Nuusset :

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- Oglens :

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- Nearon :

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- Carliste :

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Architecture :

L’architecture Toriienne reprend les bases de celle de Procia, qu’elle partage depuis l’élévation du Royaume. Elle emprunte cependant les colonnes et arches de l’architecture Vaanienne, et retire cet aspect de verticalité, qu’elle limite au maximum. Les demeures Toriiennes s'ouvrent souvent sur l’extérieur, des cours ou des jardins privatifs, favorisant toujours l'interaction avec la nature. Les toits sont plus évasés que ceux de leurs confrères Procians, et le rouge est souvent une couleur prédominante dans l’architecture, mais rarement sur des façades complètes. Le bois et ses dérivés est un élément architectural bien plus présent. Les demeures sont légèrement surélevées, le plus souvent.

Us et Coutumes

Apparence :

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Langue et éducation :

Le Toriien était la langue principale du Royaume, elle fut doucement remplacée par la langue commune qui est enseignée dans les écoles, mais il n’est pas rare de voir le Toriien cultivé dans les foyers ou même dans les domaines des clans.

Foi et religion :

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Mode et style vestimentaire :

Les Toriiens apprécient les vêtements pratiques, et plutôt sobre pour le travail. Les vêtements sont en toile simple, et les ceintures en tissu. Ils n'apprécient que peu l’utilisation du cuir dans les vêtements, usant de ce matériau pour les outils, les armes ou d’autres fonctions utiles. Il n’y a jamais d'élément métallique dans les habits Torriens, tous les boutons, boucles et autres attaches doivent être en tissu. Ils sont très friands de tissus fluides et notamment de la soie qu’ils apprécient tout particulièrement, faisant venir les plus précieux rouleaux de la Principauté de Vaan.

Les Toriiens dissocient toujours les vêtements de travail et les vêtements qu’ils utilisent pour toutes les autres tâches, allant de la vie courante jusqu’aux festivités. Si le vêtement de travail est simple et sobre, l’habit d’intérieur ou celui de la vie courante est bien plus élaboré. Il est souvent fait de plusieurs couches de tissu, et plus encore pour parer à la rudesse de l’hiver. Il est pourvu de broderie ou d’un tissu imprimé de motif sur l’ensemble de ce dernier, à l’opposé de la mode Proicianne. La plupart des motifs sont floraux, mais peuvent varier sur des animaux ou d’autres éléments de la flore. Les couleurs d’un vêtement Toriien s’adapte en fonction de la saison, allant sur des couleurs fraîches et éclatante pour un vêtement de printemps, des couleurs chaudes et chatoyantes pour l’été, des couleurs chaudes tirant vers le pastel pour l'automne et des couleurs froides pour l’hiver; signant toujours l’harmonie qui existe entre le peuple Toriien et leur environnement.

Ces vêtements d’intérieur ou de la vie courante sont pour la plupart des kimonos mais pas uniquement. L’usage du Kimono est de plus en plus réservé à l’habit d’intérieur, ou aux cérémonies, mais plus d’usage pour l’habit de vie courante. Mis à part dans les sphères les plus conservatrices de la population Toriienne, le kimono est remplacé par des vêtements de mode Vaanienne ou Proicianne. La dualité et l’opposition interne Torienne est représentée jusque dans l’apparence vestimentaire

Société

Moeurs :

L'agriculture, l'ébénisterie, la chasse ou la pêche sont très prisées par les Toriiens. Respect des anciens, sagesse, humilité... Sont quelques qualités essentielles dans leur culture.

Le Royaume de Torii est sûrement la nation où la criminalité est la plus réprimée. L'on sait également que l'échec est très mal perçu.

- Aspects fondamentaux des Toriiens :

Le sens de la famille est un des traits fondamentaux de la civilisation de Torii : les foyers comptent souvent trois, voire quatre générations. On cultive le respect des anciens, et on projette ces valeurs dans la sphère sociale : l'école, pour les plus jeunes ou la vie de travail pour les adultes sont imprégnées de ces valeurs de respect de la hiérarchie et de conformisme. L'honneur et la discipline sont les principaux piliers du peuple Toriien.

Le combat est considéré comme un art, il est disciplinaire et n’a pas pour but d’être utilisé à des fins criminelles ou pouvant troubler la communauté. La majorité des combattants sont issus de familles ou clans ayant bonne réputation au sein du Royaume, mais tout le monde ayant les moyens ou un talent assez remarquable pour attirer l'œil d’un corps armé peut y accéder, favorisant la beauté du combat à la classe sociale.

Les Toriiens vivent dans le folklore et la superstition de leurs divinités, chaque légendes, histoires et contes font le quotidien des Toriiens.

- La place du Toriien dans la société :

Les grandes assemblées sont organisées selon un système de filiales qui rappelle l'organisation de la famille traditionnelle. Les rapports entre ces filiales, sacralisés par un certain nombre de rites sociaux, font également explicitement référence aux valeurs de la famille. C'est la version du paternalisme du Royaume.

Les comportements déviants sont rares, la petite délinquance est plus faible que dans les Royaumes environnants . En revanche, les transgressions peuvent prendre des formes très vives, et la pègre existe, très organisée, et liée au pouvoir et au monde des affaires.

Dans cette société où chacun a sa place, il existe des citoyens de seconde zone, formant une masse considérable de main d’œuvre précaire, qui assure au système une grande souplesse.

Les rangs de Torii se sont formés après des décennies d’évolutions arrivant à un point fixe décrétant une société stable.

Rangs sociaux :

• Étrangers : Les étrangers ne sont pas très importants dans les différentes cités du Royaume, ils sont cependant surveillés avec plus d’insistance par le corps armé du Royaume, par crainte d’un éventuel trouble de la part de peuples ne partageant pas les mêmes valeurs.

Concernant les étrangers, Torii se laisse paraître ouvert mais garde de mauvaises appréciations envers eux, mise à part les Suutas, n’étant considérés comme de simples vagabonds qu’ils ont vu passés aux files des générations comme des témoins de l'évolution du Royaume.

• Habitants : Habitant est un mot désignant plusieurs catégories de personnes, les habitants Toriien n’ayant aucuns clans ou familles reconnues par la nation, ces citoyens de “seconde zone” ne sont pas tellement persécutés, ils disposent cependant de moins de droits que leurs compatriotes reconnus.
• Secondaires : Les Secondaires sont justement les membres de clans reconnus, les Secondaires sont les membres qui ne font pas partie de la famille du commandant mais tout de même au clan par le sang, ils ont les les mêmes droits de fréquentation que les membres Honoraires, mise à part que leur statut social est considéré comme moins important et n’ont aucuns droits de jugement sur la constitution de leur clan, souvent en rivalité avec les Honoraires, celle-ci est tout de même saine et leur nom passe bien avant cette rivalité.
• Honoraires : Les Honoraires font quant à eux partie de la branche principale, ils ont contrairement aux Secondaires des droits de constitution et peuvent recommander à leur Commandant un membre ou une élévation, ils se considèrent comme l’élite sociale de leur clan sous leur chef bien sûr. Ayant une fâcheuse tendance à rappeler aux Secondaires la place qu’ils occupent par rapport à la leur, sans pour autant en arriver à une guerre interne, ils arrivent même souvent de les voir jouer ensemble pour les enfants ou prendre un verre pour les plus âgés.
• Affiliés : Les Affiliés sont des membres qui ne sont pas nés membres du clan mais le sont devenus par admission du Commandant, par recommandations des Honoraires ou de son propre chef. Cependant une bonne partie des membres sont réticents à cette idée et ne cachent pas leur détachement de ces membres. Ils ont tout de même les mêmes droits que les Secondaires.

- Les différentes fonctions

• Commandant : Les Commandants sont les chefs des clans reconnus, ils occupent une place importante, aux seins du Royaume. Ils sont conseillers au Ten’nō de jure, l'aident dans ses prises de décisions et les font respecter dans leurs territoires. Dans leur clan ils ont mains mises sur toutes les décisions. Commandant est un rôle héréditaire qui s’offre à l'aîné(e) du Commandant actuel.
• Maître d’Armes : Les Maîtres d’armes sont les maîtres combattants du Royaume, ils sont à la tête des écoles de combat dispersées dans les cités, tout comme les Commandants ils ont mains prises sur leurs écoles et sont conseillers d’un des deux Ten’nō, celui de facto cependant.

Tous les trois ans, un membre de l'assemblée des maîtres d’armes est choisi par ses compères pour s’élever au titre de Ten’nō de facto.

• Ten'nō (De Jure ou de Facto) : les Ten'nō sont les chefs du Royaume, ils sont à la tête des cités, ils se partagent le pouvoir se démarquant chacuns l’un de l’autre. Le Ten’nō de jure obtient son titre de manière héréditaire depuis la création du peuple Toriien, anciennement appelé Kashikoi, il fait préserver la culture ainsi que les traditions de Torii. Le Ten’nō de facto anciennement appelé Chikara est quant à lui est choisi parmi l'assemblée des Shujin tous les trois ans, il s’occupe essentiellement de la politique interne et judiciaire.

Gouvernement :

Au Royaume de Torii, la politique est grandement sous la veille du Ten’nō de facto.

En tant que Ten’no de facto, le devoir de ce souverain est de s'occuper des affaires politiques, judiciaires et militaires. Il supervise l’évolution des différents corps armés des cités et intervient directement pour les décisions judiciaires importantes. Il discute avec ses Maîtres d’armes des lois et actes politiques de pays, il est présenté comme un sage homme à la stratégie militaire incomparable.

En ce qui concerne les prises de décisions sur la politique interne, les Ten’nō ont un conseil chacun, qui cultive une certaine opposition dans quelques décisions et mise en forme. Le conseil des Commandants qui épaulent le Ten’nō de jure, garde en tête de seulement garder l’empereur héréditaire, le conseil des Maîtres d’armes en pensent le contraire.

L’amour que portent les conseils à leur nation fait qu’aucune guerre interne ne prendra jour.

Les deux Ten’no n’ont certes pas les mêmes domaines d’activités, mais ils ont tout de même une autorité égale.

Justice :

La politique judiciaire de Torii est l’une des plus répressives du continent. Les dérives sont sévèrement punies ce qui fait que la criminalité atteint un niveau quasiment nul. Le Ten’no de facto a instauré la peine de mort, la prison à vie, l’amputation; le recours à la violence physique est monnaie courante dans le Royaume. La torture ou les sévices physiques et psychologiques sont des moyens largement employé par l’ordre Toriien, ils restent plus ou moins taboue et masqué par ses utilisateurs.

Armée :

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Autre